Au fil des mots
Je serai présente aux Utopiales, Nantes, qui se déroulent du 31 octobre au 3 novembre.
Le thème cette année est : « Harmonie », avec en exergue du programme cette belle citation de Jean Cocteau : « L’harmonie, c’est la conciliation des contraires, et pas l’écrasement des différences. »
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Mes tables rondes :
Vendredi 1/11 à 11h45 au Lieu Unique, atelier 1 : « Paix intime », avec Samuel Bulteau, praticien hospitalier au CHU de Nantes, Yannick Goulam Houssen, docteur spécialisé dans l’interface entre la physique et la biologie, modération Xavier Mauméjean.
« Pas besoin d’aller très loin dans le futur pour chercher la paix intérieure… ou la perdre (…). La santé mentale – sa quête comme sa préservation – est mise en scène dans bien des récits de SF. Quels imaginaires pour cette paix intérieure ? »
Samedi 2 novembre à 11h45 à Espace CIC Ouest : « Écrire le changement » , avec Etienne Cunge et Marion Besançon, modération Grégoire Courtois.
« Les environnements dévastés font partie intégrante des univers de science-fiction, mais peu de romans du genre explorent la transition vers ces nouveaux états. Comment ces changements peuvent-ils faire l’objet d’un récit ? Comment les écrire ? »
Dimanche 3 novembre à 10h30 à l’Espace CIC Ouest : « Récits et conflits, une rime trop riche ? », avec Francis Berthelot, Chloé Colomb, modération David Meulemans.
« la science-fiction explore la guerre, le conflit armé, la révolte comme vecteurs de changements, technologiques et humains. Mais une autre voix est-elle possible ? Comment écrire une SF sans conflit ? Est-ce possible et quels types de récits sont alors créés ? »
Dimanche 3 novembre à 13h45, à l’Espace CIC Ouest : « Trouver la paix », avec Pierre Bordage et Dai-Li, doctorante en philosophie modération Emerci Cloche.
« La science-fiction a longtemps semblé être le domaine exclusif des sciences dites dures. Pourtant, à sa marge, de nombreux.ses auteurs et autrices ont compris qu’elle parlait surtout et avant tout des humain.e.s et de leurs croyances. Comment la spiritualité a-t-elle su devenir un thème fort de la science-fiction ? »